Chimère
Une alcôve en plumes pour l'Hôtel de Crillon
Eric Charles-Donatien participe au projet de réouverture de l’Hôtel de Crillon. A la demande d’Aline d’Amman et de Tristan Auer, il imagine un habillage pour l’alcôve du salon de coiffure.
Eric Charles-Donatien participe au projet de réouverture de l’Hôtel de Crillon. A la demande d’Aline d’Amman et de Tristan Auer, il imagine un habillage pour l’alcôve du salon de coiffure.
« Chimère » est l’idée d’intégrer une matière atypique dans un espace spécifique, une fenêtre comme une transition entre un jardin exotique et la modernité sobre et élégante du salon de coiffure. Eric crée un élément d’intégration, de transition ... Il choisi d’utiliser ses deux matières fétiches, la plume qu’il façonne et le métal qu’il martèle jusqu’à lui donner « vie ».
Eric propose une ode à cette nature que le paysagiste de l’hôtel a voulu luxuriante et libre, un lien organique s’intégrant entre le vert naturel flamboyant et la pureté d un espace zen aux matières subtiles. Pas de rupture, l’œuvre se déploie entre les deux univers. Eric a travaillé sur l’ornement, corniche, bas relief, structure classique, en racontant l’histoire d’un décor minéral qui, telle une canope, envahie les lieux.
La rosace-soleil de l’alcôve se détache en proéminence, descendant vers la personne assise sur le sofa comme un véritable couronnement; les « écailles » naturelles de paon forment cet ensemble « décoratif », pour s’épanouir tel un oiseau qui déploie ses ailes le long des parois. Les plumes de coq bronze s’allongent pour devenir métalliques, presque vivantes; le cadre se dessine alors. L’idée artistique est de créer un visuel in-situ pour que l’intégration soit la meilleure, construisant un tableau dans lequel la cliente est le personnage principal, « une vision comme au théâtre, sur plusieurs plans» avec le jardin- jungle visible de la fenêtre.
Eric Charles-Donatien participe au projet de réouverture de l’Hôtel de Crillon. A la demande d’Aline d’Amman et de Tristan Auer, il imagine un habillage pour l’alcôve du salon de coiffure.
« Chimère » est l’idée d’intégrer une matière atypique dans un espace spécifique, une fenêtre comme une transition entre un jardin exotique et la modernité sobre et élégante du salon de coiffure. Eric crée un élément d’intégration, de transition ... Il choisi d’utiliser ses deux matières fétiches, la plume qu’il façonne et le métal qu’il martèle jusqu’à lui donner « vie ».
Eric propose une ode à cette nature que le paysagiste de l’hôtel a voulu luxuriante et libre, un lien organique s’intégrant entre le vert naturel flamboyant et la pureté d un espace zen aux matières subtiles. Pas de rupture, l’œuvre se déploie entre les deux univers. Eric a travaillé sur l’ornement, corniche, bas relief, structure classique, en racontant l’histoire d’un décor minéral qui, telle une canope, envahie les lieux.
La rosace-soleil de l’alcôve se détache en proéminence, descendant vers la personne assise sur le sofa comme un véritable couronnement; les « écailles » naturelles de paon forment cet ensemble « décoratif », pour s’épanouir tel un oiseau qui déploie ses ailes le long des parois.
Les plumes de coq bronze s’allongent pour devenir métalliques, presque vivantes; le cadre se dessine alors. L’idée artistique est de créer un visuel in-situ pour que l’intégration soit la meilleure, construisant un tableau dans lequel la cliente est le personnage principal, « une vision comme au théâtre, sur plusieurs plans» avec le jardin- jungle visible de la fenêtre.